Le monde obscur est en émoi depuis le meurtre mystérieux d’un loup-garou survenu devant le Hunter’s Moon, l’un des repaires de lycanthropes les plus fréquentés de New York. Du côté des Chasseurs d’Ombres, l’Inquisitrice, une femme insensible et austère, est dépêchée par l’Enclave pour s’emparer de l’Institut: Valentin est de retour et une guerre sanglante se prépare. Pris dans la tourmente des événements récents, écartelés entre coeur et raison, Clary et Jace se lancent à corps perdu dans la lutte sans merci qui oppose les défenseurs du bien aux forces du mal. Une lutte qui les ménera des souterrains de la Cité Silencieuse aux eaux sombres de l’East River…
J’ai vraiment accroché à cette trilogie fantastique, la preuve : je me suis jetée sur le deuxième opus, sitôt le premier terminé. Le style n’est pas fracassant, mais l’histoire fonctionne bien, avec sa part de drames, de rebondissements, et d’émotions. Avec pour fond la question du fascisme, tout comme dans Harry Potter… Et c’est cohérent !
Dans L’Epée Mortelle, on entrevoit des vérités, des secrets mais on est également initié à la « politique » de ce monde surnaturel, entre l’Enclave et les Créatures Obscures, fait de lois et de règles… On ne s’ennuie pas une seconde, et à peine la dernière page refermée, j’ai ouvert la suite ! Il faut dire qu’en dehors d’un univers bien construit, les personnages -pour la plupart rencontrés dans La Coupe mortelle- sont la force de ce roman… On s’attache aux uns, on déteste les autres, le tout puissamment. De plus, tout cela a un tout petit goût de bit-lit très sympa… miam !
Bref : Le deuxième volet de La Cité des Ténèbres tient ses promesses et c’est tant mieux !!!
Le petit plus : Cette trilogie de Cassandra Clare a beaucoup plu à l’auteur des Chroniques de Spiderwick, et à Stephenie Meyer, auteur de Twilight et des Âmes Vagabondes.
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