Entrez dans la Maison de la Nuit à vos risques et périls.
Dans un monde qui pourrait être le nôtre vit Zoey Redbird, une adolescente presque comme les autres…
Un soir après les cours, un jeune homme inquiétant s’approche d’elle. Soudain, il la désigne du doigt et lui dit : « Zoey, ta mort sera ta renaissance, ton destin t’attend à la Maison de la Nuit ». a ces mots, une marque mystérieuse apparaît sur son front. Zoey est terrifiée mais – elle le sait – elle doit intégrer le pensionnat où sont formés les futurs vampires, pour y réussir sa Transformation ou… mourir.
Tombée dessus par hasard à la médiathèque, j’ai lu ce livre par pure curiosité… Sympathique, sans plus, je pourrais dire. Le mythe du vampire y est complètement revisité, et n’a pas déclenché une totale adhésion chez moi, même si j’ai trouvé cette idée de culte à une déesse de la Lune assez originale.
Le roman est trop « ado » pour moi, je pense -et pourtant je suis habituée aux lectures jeunesse. On y retrouve de plus à peu de choses près le même schéma que dans Harry Potter, avec cette Maison de la Nuit en sorte de Poudlard à la sauce vampirique ; ça m’a dérangée, cette impression de déjà-vu ! Le style est simple, pas de trait de génie, et l’on sent bien que le livre a été écrit par une mère et sa fille (sympa sur le principe). Néanmoins, je pense qu’il peut satisfaire de plus jeunes lecteurs que moi, qui ai préféré la saga Harry Potter bien plus mature à mon sens, ou pour parler créatures sanguinaires d’autres romans classés horreur ou bit-lit -j’ai un peu de mal à considérer le roman de PC et Kristin Cast comme appartenant à cette dernière catégorie !
Bref : une lecture un peu trop adolescente à mon goût, même s’il y a de bonnes trouvailles, avec un arrière-goût de Poudlard…
Le petit plus : Il y a bien sûr une suite, pour ceux que ça intéresserait, mais je ne me jetterai pas dessus !
je crois que je tenterais tout de même le tome 2, histoire de voir si c’est mieux… Je suis d’accord avec toi, même si ce sont des persos fantastiques, ils manquent légèrement de crédibilité… j’aime bien ton expression « de papier mâché » !